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 GUS. PAN. BROADWAY || over

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Gusilda P. Broadway

Gusilda P. Broadway

Nombre de messages : 7
Année d'étude : cinquième ;
Date d'inscription : 16/08/2009

GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 20:53

GUS. PAN. BROADWAY || over Dontleaveme
Don’t leave me.
KIDS – MGMT

1 - carte d'identité

  • NOM : Gusilda Pandore

  • PRÉNOM(S) : Broadway

  • ÂGE/ANNÉE : Cinquième année


2 - psychologie

    CARACTERE : Gusilda. Une boite carrée dont la surface rugueuse s’est abimée durant quinze années. Prénom étrange [pour] jeune fille étrange. Un regard, un tic, Gusilda à quelque chose qui dérange. Pour commencer, sa démarche. Chaloupée, incertaine, souvent mise à l’épreuve par les obstacles posés sur son chemin. Un mur ? Il est étrange d’avoir à constater que, par soucis de vérifier que ce mur existe bien, elle foncera dedans alors que n’importe qui l’aurait vut. Un chat ? N’allons pas douter qu’elle écrasera la queue du félidé par mégarde. Le souci, alors, est de discerné ce qui provient de la maladresse, et ce qui a été dicté par le sadisme. Gusilda n’est pas sadique. Tout du moins, elle ne rigolera pas en voyant un enfant pleurer sur son genoux en sang. Très peu pou elle. D’ailleurs, l’hémoglobine humaine lui fait peur. Ce rouge la terrorise. Et, bien qu’elle adore sucer ses plaies –dérangée ?roh, aller, vous aussi quand vous étiez gosse…Certes, elle à plus cinq ans-, la moindre Vue sur une blessure profonde la mènera à l’hosto. Ou presque. Car Pandore est aussi névrosée. Angoissée. Stressée. Par tout, et n’importe quoi. Elle ne vous laissera jamais entrevoir un signe d’hystérie ou d’essoufflement. Ses faiblesses sont cernées par les plus fins, mais ignorées par la presque-totalité du monde qui l’entoure. Elle noie sa tristesse ou sa colère dans les toilettes, et c’est bien pour ça que ce lieux demeure son plus grand ami. Ironique ? Elle sait pleurer en silence, aussi. Une faculté qui, croyez-le ou non, peut se réveler très utile lorsqu’on est à fleure de peau. Et si, par le plus grand des hasards, vous deviez vous cacher et que quelque chose d’horrible se produisait près de vous ? Il vous faudrait garder le silence, n’est ce pas ? (sauf si l’autre crétin à coté de vous hurle à la mort, l’idiot -_-). Eh bien voilà. Gusilda en serait capable. Et peut-être que vous, non. Téméraire. Craintive ; Téméraire. Deux mots qui s’éloignent sans jamais se rejoindre. Et pourtant ! Si il y a une chose qui caractérise notre allumée, c’est bien la teneure de ses expéditions. Capable de se lever la nuit pour espionner quelqu’un, d’aller créer une potion interdite dans un coin reculé du château, ou d’enfreindre quelque partie du règlement pour satisfaire sa soif de nouveauté et d’aventure, la boite de Pandore ne recule devant rien. Sauf peut-être devant la mort. Lunatique. Patiente de nature, il lui arrive néanmoins d’exploser sans crier gard, pour une raison quelconque. En réalité, ce seras à cause d’un de vos propos, tenus il y a dix minutes, qu’elle aura tourné et retourné dans sa tête avant de se résoudre à vous engueuler. Une vraie bombe à retardement. Maintenant, nommons au moins une qualité. La fidélité. Si il est bien une chose sur laquelle Gusilda ne revient pas, c’est sur sa parole. Promesse, confiance, amitié, ces mots sont durs comme le roc. Un souci qui demandera d’aller plus loin qu’elle n’y est jamais allé ? Elle y ira. Pour vous, parce qu’elle l’a promit, parce que vous êtes amies. C’est une règle d’or. Son intelligente est contrastée avec son manque flagrant d’attention en cours, outre en Métamorphose où il semblerait qu’elle boive chaque parole du professeur Minerva Mcgonagall. Une vraie groupie. Mais ce à des fins bien moins méritantes qu’on l’y prêterait. En outre, Gusilda souffre d’un gargantuesque problème de tact. En des circonstances importantes, en particulier. En général très aimable, très sociable, il lui arrive sur certains sujet d’être bien trop franche. Comme sur les nés-moldus ou les langues de vipères. Un secret à garder ? Vous n’avez pas toqué à la bonne porte. Gusilda est tout à fait incapable de comprendre la notion « à ne pas répéter ». Dommage ? Cela ne vous empêchera pas d’aller la voir pour un remonte-moral, car une chose est sûre, qu’on soit à Poudlard où proche de la mort, avec Gusilda, on ne s’ennui jamais.


3 - questionnaire du choixpeau

• 1) Vous trouvez un porte-monnaie rempli de Gallions, qu'en faites vous ?
    Je le garde pour moi. Pourquoi ? Il est tout à fait improbable que je parvienne à retrouver son propriétaire [ou sa], et un tant soit peut qu’il soit possible de le faire grâce à notre vénérable magie, je n’ai pas de temps à perdre. L’individu devait être, soit débordé et stressé, soit peu attentionné. Quoiqu’il en soit, il n’a pas tenu assez à son argent pour y prendre garde comme il se le fallait. De ce fait, je n’ai aucun scrupule à conserver ce merveilleux butin. Si, par la suite, j’entends parler d’un avis de recherche et que la fortune me sourit, j’irais le rembourser –en supposant que j’ai compté la modique somme. Sinon, je laisserais couler.

• 2) Un élève de votre maison vous fait une farce un peu humiliante. Comment réagissez vous ?
    Mal. Intérieurement. Il y a quelques années, j’aurais sûrement fondu en larme. Maintenant, je me contenterais de lui renvoyer la balle d’un coup sec. Si ce n’est pas possible, je resterais digne. ( et ferait mon possible pour ne pas rester à ses cotés trop longtemps ).

• 3) Quel serait votre cours favori et pourquoi ?
    Métamorphose. Je rêve de devenir Animagus, ce qui, en soit, est tout à fait utopique. J’aime transformer les choses, avoir la possibilité de changer de forme, et c’est de loin la meilleur technique pour se cacher selon-moi. Tout benef.

• 4) Vous avez du temps libre, que faites vous ?
    Bonne question. Je vais voir des amis, je me ballade, je tente de négocier avec le Professeur Hagrid pour voir des animaux impressionnants…Ou je farfouille à la Bibliothèque.

• 5) Vous êtes à la bibliothèque, qu’empruntez-vous comme livre ?
    Un livre de potion, toujours utile. [j’aime les expérimentations interdites comportant bézoards et autres ingrédients rares…Et dangereux.]

• 6) Votre lieu préféré à Poudlard et pourquoi ?
    Les toilettes. La raison restera secrète pour des soucis de réputation. (qui n’y a jamais pleuré, hein, hein ?)

• 7) Si vous deviez n'en avoir qu'un seul, quel objet magique peu ordinaire aimeriez vous posséder ? :
    Un crochet de Basilic. Allez savoir pourquoi, je trouves ça terriblement séduisant accroché à une chaine. Et puis, parait-il, le venin y reste longtemps accroché. Du coup, je pourrais facilement tu…me défendre avec.

• 8) Si vous remarquez qu'un élève se comporte bizarrement ces derniers temps, aimeriez vous savoir ce qu'il manigance, allant jusqu'à le suivre ?
    Oui, Oui, absolument Oui. J’adore, j’adule…Je vénère les embrouilles et les manigances. La vie serait bien triste sans. Non ?

• 9) Comment consiérez vous Albus Dumbledore, directeur de Poudlard ? Est-ce une bonne chose qu'il soit à la tête de cette si prestigieuse école ?
    Je n’y ai jamais vraiment pensé, à vrai dire. Enfin si. Il est rassurant, d’un coté. Et d’un autre, pour être le plus fervent opposant à Vol…Vous-savez-qui, il est un aimant à ennui. Très contradictoire.

• 10) Très franchement, pensez-vous que les enfants de Moldus méritent d'étudier à Poudlard ?
    Hum. Je ne veux pas paraitre…Enfin si, assumons. Disons que le fait qu’ils soient dotés de pouvoirs me laisse dubitative. Intriguée, serait le plus juste. La magie éclot-elle « sans rien » ? Est-ce possible ? D’où tout cela provient ? En règle générale, je dirais qu’ils le méritent autant que nous, mais que l’origine de leur magie est douteuse. Et très intéressante.


4 - hors-jeu

  • AVATAR : Behati Prinsloo

  • EXEMPLE DE RP : Vous pouvez prendre un de vos RP d'un autre forum où vous jouez.

  • EXPÉRIENCE RPG : 4 ans, je crois.

  • COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Par internet & Partenariats entre forums.
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Gusilda P. Broadway

Gusilda P. Broadway

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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 20:53

Nous sommes un vingt-trois décembre. Le soleil se lève sur la banlieue de Londres ; Vaste entrepôt de pavillons aux couleurs chatoyantes. Le ciel ? Bleu ; Des nuages duveteux d’un blanc innocent y gambade sans prendre gare aux mortels sous leurs pieds. Une pelouse verte noie le bitume devant une bâtisse jaune. Et, sur cet épais matelas feuillu, une jeune fille brune fixe les passants en poussant de ses pieds la balançoire où elle repose. Gusilda à huit ans. Elle vous regarde, Fixement. Cette enfant ne sais pas détourner les yeux. C’est sûrement ça. Elle sait que dans vingt-trois minutes, huit seconde et vingt-quatre millième, sa mère va sortir et lui proposer un muffin au chocolat. Elle ne dira pas non, parce que justement, elle aime ça. Comme sa génitrice n’aime pas la savoir dehors sans surveillance, elle lui intimera de rentrer. « Pour ne pas faire de miette sur ta ravissante robe ». Elle sait aussi, avec tout autant de sureté, que le chat des voisins sera sur la table de la cuisine. Il la fixera de ses gros yeux bleus et, glouton, se ruera sur Son muffin. Elle se chamaillera dix minutes ; Et le matou gagnera. Helen Broadway émettra un rire faux. Elle regardera par la fenêtre. Pour guetter un mari qui ne rentrera qu’à neuf heures du soir, échevelé et de mauvaise humeur. Elle ne proposera pas un autre Muffin à sa fille qui meurt de faim et dont les yeux humides crient à l’injustice. Elle ira repasser des habits cents fois pliés et dépliés. Elle ira ranger des salles cents fois astiquées. Et elle n’ira jamais voir un psychologue. »

      Chapitre Premier.UNE RAISON D’ÊTRE.


    J’ai toujours adoré Londres. Je ne sais pas si c’était parce que j’y étais née, ou si cela provenait juste d’une affection soudaine ; sortie du néant. Toujours est-il que lorsque d’autre se plaignait d’être né sur le territoire anglais, je jouissais d’une éternelle satisfaction. J’aimais ce chien galleu à l’autre bout du carrefour, ces cabines téléphoniques d’un rouge criard, ces panneaux publicitaires gigantesques, le prix exorbitant du mètre carré dans un pauvre appartement londonien, ce château sans cesse admiré ; jamais visité. Cette reine fière et fidèle, toujours prête à veiller sur son pays. Et surtout, surtout, j’aimais ma maison. C’était un énorme carré jaune canari, typiquement américaine. Ce qui, en soit, faisait définitivement tâche dans mon quartier très posé ; Au Nord de la Capitale, en Banlieu. Nous étions les seuls à n’aborder aucun mur de pierre. Au lieu d’exposer une longue maison triangulaire, nous avions opté pour un carré dodu. Le logis me donnait l’impression d’être un gigantesque carton où tous nos objets auraient étés plongés. Pouf. Ma chambre était simple, souvent ensoleillée. Moi qui détestais la chaleur, j’hurlais à la mort les jours d’été. Le climat devenait si aride que je finissais par croire qu’on nous avait téléportés au cœur du Sahara, sans vivres. Ma vie était simple, relativement posé. Un petit déjeuner simplet ; bacon et œuf à perte de vues, des Noël nimbé de rires et de partages, des cours ennuyeux et des amis drôles. Nous étions l’archétype de la bonne famille ; Des bons citoyens. Pelouse verte, balançoire, bonne cuisine, sourire colgate ; Peu de faux semblants, juste un cœur comblé. Il y avait bien une chose. Une unique petite chose qui nous rendait un tant soit peu différents. C’était…La Magie.

    Qui n’a jamais lut Peter Pan ? Qui n’a jamais rêvé la belle au bois dormant ? Qui, dans son lit, ne s’est couché les yeux pleins d’étoiles et la tête remplie de rêves ? Les Moldus ont toujours eu, dans leur vie, une trace de magie. Qu’ils reniaient avec le temps, espéraient en secret sans jamais l’avouer. Nous, sorciers, sommes cette trace de leur enfance qui à prit forme au fil des millénaires. Encrés dans notre cœur, une indicible différence qui nous permet de faire ce qu’eux ne peuvent. Transformer, transporter, déformer, reformer, peindre, cuisiner, voler. Nous pouvons. C’est ce pouvoir qui à changé ma vie. Au lieu de naitre dans un foyer où ils faudrait suer avant de réussir une tarte au citron, où les vaisselles seraient longues et les repassages épuisants, j’ai trouvé la vie là où un coup de baguette magique suffisait. Amplement. Seul mon père sorcier, ma mère, elle, se contentait de n’être qu’une Moldue aimante et attentionnée. Contre toute attente, c’est elle qui prenait le moins de place et effectuait le plus de tâches. Efficace, dévouée. Tandis que mon père, ancré dans un monde qui n’était pas le siens malgré ses efforts à s’en détacher, passait plus de temps « là-bas » qu’ « ici ». J’ai donc principalement vécut comme une Moldue. Jusqu’à mes neufs ans, où, décidant que Poudlard approchait, ce père-fantôme est revenu. Mais l’usure du temps ne rattrape jamais les dégâts qu’elle à causée. C’est ainsi que le huit avril, ma mère et mon père se séparaient. Je devais apprendre à partager mon chat ; Ma maison. J’étais une petite fille compréhensive, et je préférais les voir loin l’un de l’autre, qu’épris et malheureux. Ils s’aimaient encore. Mais cette magie, cette dévorante magie, cette absolue magie, constituaient la plus fourbe maitresse qu’un homme ai jamais porté. Le divorce était déjà bien courrant dans notre société. Ce n’était plus une tragédie capable de fendre à jamais le cœur nouveau-né d’une fillette de mon âge. Ou du moins, le voyais-je ainsi. Après avoir suivit une scolarité badine sous les rires ; les pleures ; les applaudissements et les séparations de mes amis, j’ai tout quitté. Tout. Ma mère aussi. Helen Broadway, mariée à Vinci Broadway. Séduisant jeune homme, belle jeune femme. Un café, un regard, un sourire, une discutions, et une multitudes d’autres rendez-vous. Un bébé, Moi. Une vie. Longue. Monotone. Une femme lassée d’attendre, brisée de ne plus recevoir l’amour lui étant due. Courte histoire ; Longue période.

    Je prenais le chemin de l’enchantement avec mon géniteur, apprenait à le connaitre un peu mieux. Comment peut-on mieux connaitre quelqu’un qui nous est antipathique ? C’est très simple. D’autant plus lorsque vos yeux s’ouvrent un matin, sur une réalité toute différente de celle que vous aviez eu à aborder chaque matin, durant neuf longues années. Ce n’était pas un irascible employé de bureau ; égoïste et solitaire. C’était un magicien surbooké qui sauvait des vies à Saint Mangouste et gérait certaines crises médicales au ministère. C’était un héro qui, malheureusement, ne pouvait avoir la même identité auprès d’une famille singulièrement différente de lui. C’est pour cela, que, même doté d’un sens de l’honneur et du respect profond, il n’avait pas sut retenir la main de cette femme veiillit. Enfin, j’aimais mon père.



      Chapitre Second.BRUME.

    Chemin de Traverse. Quelqu’un court.
    « REVIENS, SALE VOLEUSE !
    -Désolée, Madame Irginsblack, mais ce n’est pas dans mes priorités aujourd’hui ! »
    Eclats de rire, grosse suée, et talons qui claquent. L’enfant fuyarde se réfugie dans une longue allée noire, tapie de chats malades et de rats dégoutants. La vendeuse passe sans la voir ; Elle n’ose même pas penser qu’une fillette a put pénétrer ici. Comme Gusilda ne sait rien de l’identité de la rue, elle s’y enfonce. Et débouche sur une longue allée étroite et caverneuse, où s’entassent des magasins étranges. Curiosité.
    « Hey beauté, pour six gallions, une potion qui te permettra d’éliminer définitivement tous ceux qui te veulent du mal ! Ca te dit ?...Hein ma jolie ? »
    L’homme à le poil mal rasé, les habits déguenillé, et il parle rauque. Alcool & Fumée.
    × BARJOW & BEURK ×
    Interrogation sur le fond de ses prunelles. Le bâtiment est très haut, et la vitrine morbide. Un ensemble glauque de vieilleries satanistes. De la magie noire. Gusilda à onze ans. Cette journée était destinée aux fournitures scolaire, mais son père à eu, une fois de plus, un client à sauver de la mort. Pas chiant, le bonhomme. Elle pense à sa mère. « Elle, elle aurait été là. ». Une certitude que le temps à fait voler en éclat. Elle à refait sa vie, à tenté de t’oublier. Ce que Gusilda ne sais toujours pas, c’est que le sortilège « Oubliettes » efface même les plus ardentes choses de notre vie. Et que, pour le bien d’Helen, Vinci aura préféré les séparer à jamais. Merci, Daddy.
    « Qu’est ce qu’une mioche de ton âge vient faire ici ?! »
    Une main osseuse agrippe son bras. De grands ongles sales, une voix nasillarde. Le stéréotype de la méchante sorcière de ces livres pour Moldus. Son sang ne fait qu’un tour tandis qu’elle se retourne vers l’adulte qui l’apostrophe.
    « Je…je me…ballade. Je me ballade. C’est un problème, de se balader ?!
    -Ca dépend…Ma jolie...Ce seras un problème si il t’arrive quelque chose, je suppose.
    -Mon père travaille à Saint Mangouste, il pourrait déjà vous avoir sauvé la vie, vous n’allez pas m’agresser tout de même !, proteste sans grande conviction sa voix chevrotante.
    -Eh bien...Qu’as-tu dans ta bourse, hein ?
    La main crasseuse ressert son étau autour de son poignet droit. Elle gémit.
    -LACHEZ-MOI !
    -STUPEFIX ! »
    Sursaut, panique et effarement. Gusilda se retourne, persuadée qu’un mage noire vient de tuer la sorcière devant elle en lui lançant un Stupefix mortel, et qu’il va maintenant s’en prendre à elle. Sur les marches du magasin aux milles et unes horreurs se tiens un homme de forte carrure, l’air méchant et l’haleine vilaine. Le patron.
    « Une gamine devrait pas trainer ici, surtout sans parents. La prochaine fois, je pourrais bien ne pas me déplacer pour toi. Retourne en arrière, tourne à gauche, c’est le Chemin de Traverse. Et qu’on ne te revois plus ici ! File, file, file ! »
    Elle hoche la tête frénétiquement et jette un dernier coup d’œil aux reliques. Une envie, furtive. Du désir. Pour ce mal qui tournoi sournoisement autour de l’allée. Hm…Non. Elle court retrouver la lumière du jour. Aujourd’hui, elle aura sa baguette, et demain, elle gagnera Poudlard. Hors de question de rater ce soleil qui lui adresse un sourire radieux. Poudlard. Poudlard.



      Chapitre Troisième.BAGUETTE

    Ollivander. Un vieil homme aux cheveux d’un blanc pur, et à la mine aimable. Il accueille chaque petits sorcier avec un sourire ravit. « Ce métier doit être formidable ». Pas terrorisée pour un sous –enfait, si-, Pandore s’approche du comptoir. Il l’étudie. Puis, suspicieux, part farfouiller dans des étagères garnies de toute sortes de bâton magiques.
    « Hum…Celle-ci ? Allez, prenez-là ! Essayez ! Faites un mouvement, n’importe lequel. Vous verrez, c’est la baguette qui choisit son sorcier, pas le sorcier qui choisit sa baguette. »
    Il lui adresse un regard franc ; encourageant. Bien, bien, exécutons. Mouvement du poignet. Eclaire de lumière bleu. Lueur d’argent, douce chaleur. Du vent…Du bien être. Elle ne sait plus vraiment où elle est, et lorsque Ollivander reprend la parole, elle sursaute.
    « Bien ! Parfait ! On pourra dire que cette baguette était faite pour vous ! D’habitude, il me faut faire plusieurs essais…Vous avez eu de la chance.
    -Mer…ci. Au revoir, Monsieur Ollivander ! Merci, merci ! »
    Le ravissement d’avoir obtenu une preuve de son appartenance au monde de la magie…L’impatience, l’excitation. Ces sentiments anciens qui coulent dans nos veines et s’y figent, anciens ; Souvenirs.


      Chapitre Quatrième.DEBUT&FIN.

    Et ainsi va la vie. L’on grandit, découvre de nouvelles choses, de nouveaux amis. Nos sourires s’échappent, se redécouvre, nos dents poussent, nos cheveux tarissent, éblouissent, deviennent longs ou restent courts. Nos yeux s’écarquillent un peu plus à chaque nouvelles surprises, et notre joie demeure le sentiment le plus important aux yeux de nos parents. Ce long fleuve ne tarit jamais. Il augmente, sempiternellement, remplit ce que la terre n’a pas sut construire seule. La cinquième année arriva bien vite, laissant derrière elle le Choixpeau Magique, le toit ensorcelé, la grande salle gargantuesque et ces élèves inconnus à la taille effrayante. Amours, Hésitations, Adolescence. Gusilda finit par grandir comme tout le monde. Et acheva la fin du début. Réstèrent ces traces du passés ; Ces attirances douteuses, parfois nuancés ; Ces cauchemars indomptable. Ces larmes impérissables.
    Ce que nous connaitrons tous un jour.


Nous sommes le Cinq Mars. Une jeune fille regarde par la fenêtre de sa salle commune. Elle ne sait pas ce qui se passera dans cinq minutes, huit seconde, vingt-trois millièmes, et ne veut pas le savoir. Son lit est chargé de chocolats acheté à Pré-Au-Lard chez Zonko, et une sucette énorme constitue la merveille du lot. Une amie, perchée sur le matelas, la tête en bas, la fixe en rigolant. Elle lui raconte la tête du Professeur Flitwick le matin de Noël quand un arbre s’est soudainement abattu sur une table et qu’il à put réparer ça à la dernière minute, hurlant de sa voix aigue quelques paroles. A son tour, elle se secoue sous un rire tonitruant. Raconte sa propre anecdote sur les yeux brillant de Minerva Mcgonagall face à Dumbeldor. Amusement. Elle choppe la sucette, en enfourne une partie, donne l’autre à celle qui rigole aussi. Tourne la tête vers le fond de sa valise où une étrange glace achetée Allée des Embrumes reflète le toit de la chambre. En flamme. Elle ignore ce que ce miroir veut bien pouvoir lui dire à illustrer une catastrophe de ce type. Elle s’en moque. Elle se lève, et se dirige vers la sortie du dortoir. « Prête ? C’est partit ! » Ainsi va la vie. »
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Hermione Granger
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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 23:10

Bienvenue Gusilda !
Très jolie fiche, bien présentée, bien écrite, et agréable à la lecture :-)
J'ai eu beaucoup de mal à te répartir toutefois ^^

SERDAIGLE, 5ÈME ANNÉE

Bon jeu parmi nous !
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Gusilda P. Broadway

Gusilda P. Broadway

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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 23:19

Merci mademoiselle ^___^
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Tanya E. Jewel
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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 23:22

Oh une Serdaigle *-*
Bienvenue dans la famille ! =P
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Tsuki Aoi
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Calineuse Professionnelle ! <3
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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 23:28

Yeah ! C'est nous, la meilleure maison, na !

Bienvenue Gusilda \o/
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Gusilda P. Broadway

Gusilda P. Broadway

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GUS. PAN. BROADWAY || over Vide
MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over EmptyDim 16 Aoû 2009 - 23:30

    Yeah ! Merci beaucoup de l'acceuil
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MessageSujet: Re: GUS. PAN. BROADWAY || over   GUS. PAN. BROADWAY || over Empty

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