Hayley F. Christen
M.A. * (Modérateur Adoré)
Nombre de messages : 987
Age : 30
Année d'étude : 5ème année
Baguette : Saul pleureur ; 28 cm ; plume de phoenix
Date d'inscription : 29/11/2008
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Sujet: Hayley F. Christen | FINIT Mar 2 Déc 2008 - 22:01 |
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___I. PERSONNAGE :• NOM : Christen • PRÉNOM(S) : Hayley, Felize • AGE/ANNEE : 16 ans, 6ème année | 15 ans, 5ème année | 14 ans, quatrième année
___II. PSYCHOLOGIE :• CARACTERE : Décrire Hayley psychologiquement n'est pas évident du tout... Imprévue, dis-je sans vouloir vexer celle qui lui tient lieu de seule connaissance du pays. Oui, imprévue. Tantôt patiente, calme et posée, tantôt ardente, impatiente et vivace, tantôt sadique, il lui arrive aussi d'être triste et solitaire, ou même violente et amoureuse.
Princesse au cœur de diamant, aux pensées de cristal, elle ne connaît pas la pitié, ni la faiblesse, qui pour elle sont autant de défauts qu'ils doivent mourir. Par sa main, on voit la décadence du monde, des êtres qu'ils sont tous, et par ses paroles et ses actes, on voit ce qu'a créer l'enfer et l'immondité des hommes... En effet, elle hais tous ce qui as rendu un monde aussi moche. Elle hais aussi ceux qui l'ont créé, cause de la laideur des peuples. Elle hais la faiblesse, ainsi que ceux qui se croient tous puissants, mais qui ne le sont pas. Elle sait éprouver de la méchanceté et du respect envers qui mérite chacun de ces sentiments, elle sait reconnaître les valeurs des uns, les déshonneurs des autres. Pour elle, tout à un sens, et chaque paroles prononcées sont utiles. Aussi ne parle t'elle pas pour rien, et n'écoute t'elle pas ceux qui lui sont stupide, ceux qui se laissent aller, ceux qui lui déplaisent, et enfin, ceux qui parlent pour ne rien dire... Oui, elle est chiante avec ses principes, mais cela fait partie d'elle même, avec son regard et son rire, si rare, puisqu'elle ne l'accorde que rarement, à ceux qui l'on mérité. Comment vous faire penser que ce n'est une chieuse finie ? Parlons de son sens de l'observation... Ses réflexes sont surdéveloppés, ses capacités impressionnantes, mine de rien. Elle sait être silencieuse, être invisible, inodore, insonore, faire partie du décors, en observant tout aux alentours, notant chaque détails, chaque gestes, chaque paroles... Rien ne lui échappe. Sa mémoire sélectionne le plus important, rejetant ce qui ne sert à rien, fessant d'elle même une jeune fille qui en sait plus sur vous que vous ne pouvez le penser. Avec elle, partez du principe qu'elle sait tout... Que dire d'autre... Sa liberté peux être ? Personne ne peux lui marcher dessus. Vous avez été prévenus, ne venez pas vous plaindre... Personne, PERSONNE ne lui dicte quelques conduites, ses pensées, ses visions des choses... Elle ne dépend de personne, mais fait en sorte que nombre de gens qu'elle n'aime pas dépendent d'elle. D'ailleurs, rare sont ceux qu'elle écoute vraiment, et suit leurs conseils ou avis. Que rajouter de plus... Ah, si, un dernier point... Ou avant dernier, je ne sais pas : Hayley est arrogante, elle est fière d'elle, ne se sous estime pas, mais a plutôt tendance à se juger au juste milieu, c'est à dire sans se sous-estimer, ni se surestimer... Sauf qu'il lui arrive d'oublier de le faire envers ses ennemis, et de les sous-estimer... Mais pas de perdre. Perdre ? Une notion qui lui est inconnue. Pour elle, elle perd peux être une bataille, mais elle se débrouille toujours pour gagner la guerre. Je n'irais pas jusqu'à vanter ses qualités de guerrières, mais bon... D'une sensualité hors du commun, tout homme digne de ce nom a au moins poser ses yeux sur les corps de la jeune femme. La demoiselle sait tout de même être un petit ange quand elle le veut, mais comme ceci n'arrive pas souvent ne nous attardons pas dessus et passons à autre chose...
___III. HISTOIRE :• BIOGRAPHIE : Tout cela commença par une journée simple. En fait, les journées n'existaient pas plus que les soirées. Car un jour, l'Enfant ouvrit les yeux... Et créa le monde... A sa façon. Le premier jour, elle vit la Terre, et le Ciel. Terre, mère de toutes créatures, bafouée par une race précise, qui se croyait supérieure. Ciel, lieu de toutes espérance. Lieux de paix, dans lequel volait quelques créatures pures... Et tuées par ces impures. Le second jour, elle vit la séparation entre la lumière et la nuit. Le Soleil, la Lune. Noir, Blanc. Le choix fut vite fait, et elle apprit à dormir le jour, pour veiller la nuit... Le troisième jour, Elle vit la mer, la pluie, les larmes et les torrents... Cela lui suffit à se forger une pensée du monde... Si indéfinissable, et pourtant si prévisible... Le quatrième jour, Elle cessa de voir, car voulait arrêter de vivre ainsi... Le cinquième jour, elle fut Hayley. Le sixième jour, elle connu l'indécision, et le septième, la séparation. Abandonnée sur la terre, sous la pluie, près d'un oiseau mort, signe de malheur, ces cinq jours furent un souvenir douloureux... Comme le restant de sa vie par ailleurs.
Il y a des peurs que l’on ne peut effacer, Il y a des larmes qu’on ne peut oublier, Il y a des moments désormais achevés, Qui sont à jamais délaissés.
Coule une larme, Glisse une lame, Rouge le sang, Comme le vent…
Un homme passant par là ramasse l'enfant, et lui fait ouvrir les yeux. Il choisit de l'adopter. Cette enfant, il ne l'éleva pas, il la dressa. Toujours plus forte, toujours plus rapide, toujours plus gracieuse et invincible. Toujours changeante, jamais la même. Plus elle grandit, plus il nota ses capacités à être un animal, docile seulement envers lui... Il apprécia cela. Plus elle grandit, plus ses exercices furent intenses... Pour elle. Plus elle grandit, plus elle était convoitée... Par les autres, mais par lui aussi.
Plus elle grandit, plus il l'admirait, la choyait, devenait possessif. Elle était protégée des regards, puisqu'il se refusait l'idée de la laisser sortir pour que trop d'yeux se posent sur elle... Il se refusait à laisser aux autres admirer sa création. Alors il l'enferma. Elle résista, évidement. Alors il abusa d'elle. Quel jour étais-ce ? Elle ne les comptait plus depuis longtemps. Ce jour là, elle connu pour la première fois les larmes, et pour la dernière fois. Elle connu aussi le diamant, et le cristal, les plus solides et les plus purs des pierres. Elle connu nombre de sentiments qu'évoquer ici serait inutile. Et c'est alors qu'elle devint ce qu'elle est. Entre entraînement impossibles, et moments libres, qui n'en était pas, puisqu'elle sentait son corps caresser ses chaînes, sa peau se hérisser, sa haine affluer, la jeune fille grandit, et apprit la vie.
Tout cela est bien beau, enfin, si on peut dire. Mais toute cette histoire est présentée comme celle que l'ont lit dans les livres. Et nous ne sommes pas dans un livre. Ici, c'est la vrai vie. La vie que vous connaissez tous. La vie pleine d'amour et de bonheur. Mais cette vie peut très vite devenir une vie sombre et monotone. Une vie pleine de tristesse et de malheur. Mais ne dramatisons pas. Ce n'est pas de notre vie dont nous parlons, c'est la sienne. Hayley Felize Christen. Cette jeune femme est née en Amérique, dans le Bronx, à New York. Mais, de là bas, elle ne se souvient de rien. A part d'une lumière verte éblouissante. Ah non. Zut. Je me trompe d'histoire, excusez moi. Lorsqu'elle eu 4 ans, la jeune fille déserta l'Amérique afin de se rendre à Londres. Pourquoi ? Son père n'avait plus de travail au Etats-Unis, il a donc décidé de repartir de zéro. Mais on ne peut pas dire que cela est réussit ... La vie qu'ils eurent en Angleterre ne fut pas de tous repos, loin de là. Oui, il y avait une maison. Oui, il y avait du travail. Oui, il y avait de quoi manger. Mais il n'y avait pas de famille. Le père n'était jamais à la maison, la mère ne savait plus où donner de la tête. Et l'enfant, elle, restait au milieu. Entre les problème de papa et la fatigue de maman. La vie fut comme ceci pendant quatre ans. Puis, un beau matin, le "sauveur" arriva. John Parker, un jeune journaliste, passait dans le quartier à la recherche d'un scoop. Et le mari, lui, en avait un. Les deux hommes partirent six mois en laissant les deux femmes seule. Pendant ces six mois, la vie fut dure, mais elles étaient fortes, elle résistèrent.
Lorsque le père revint, il avait fait fortune, et, depuis ce jour, la vie fut belle. Comme quoi, un simple coup de pouce et le monde tombe à vos pieds. Le jour où Hayley reçut sa lettre, ses parents furent fier, très fier. La suite de l'histoire, vous la découvrirez...
___IV. QUESTIONNAIRE DU CHOIXPEAU MAGIQUE :Dans quelle maison irez-vous ? Répondez sincèrement à ce questionnaire. Écrivez tout ce qui vous passe par la tête, donnez un maximum d'informations ! Ce questionnaire nous aide à vous répartir. • 1) Vous trouvez un porte-monnaie rempli de Gallions, qu'en faites vous ? Je le prend. Il peut toujours être utile.
• 2) Un élève de votre maison vous fait une farce un peu humiliante. Comment réagissez vous ? Mal. Une bonne crise en fait. Mais, ceci passé, tout ce calme.
• 3) Quel serait votre cours favori et pourquoi ? La métamorphose. Je trouve ça super de changer un truc en un autre ...
• 4) Vous avez du temps libre, que faites vous ? Je me repose.
• 5) Vous êtes à la bibliothèque, qu’empruntez-vous comme livre ? Un livre qui n'a EN RIEN rapport avec quelque cours que ce soit. Plus précis ? Tout dépend de l'humeur.
• 6) Votre lieu préféré à Poudlard et pourquoi ? Les jardins. C'est calme et magnifique.
• 7) Si vous deviez n'en avoir qu'un seul, quel objet magique aimeriez vous posséder ? Un engin capable de remonter le temps. Je trouve ça super !
• 8) Si vous remarquez qu'un élève se comporte bizarrement ces derniers temps, le suiveriez-vous pour savoir ce qu'il manigance, au risque de vous faire prendre ? Pourquoi ? Oui, bien entendu. Pourquoi ? La curiosité est un de mes gros défauts !
• 9) Comment consiérez vous Albus Dumbledore, directeur de Poudlard ? Est-ce une bonne chose qu'il soit à la tête de cette si prestigieuse école ? J'adore Albus Dumbledore ! C'est un grand sorcier. Mon modèle en fait. Pas question beauté hein ! Parce que de ce coté là, il pourrait faire des efforts ... Qu'il soit directeur de Poudlard est très bien. Après tout ce sont les grands sorciers qui forment les grand élèves, et pas l'inverse.
• 10) Pensez-vous que les enfants de Moldus méritent d'étudier à Poudlard ? J'en suis moi même une... Tous ce qui disent que seul les fils de sorciers devraient pouvoir étudier à Poudlard sont des imbéciles. Je n'ai plus rien à ajouter.
___V. HORS-JEU :• COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Un top site. Mais je ne sais plus lequel ...
• NOMBRE DE LIGNES DE RP EN MOYENNE ?25 à 30 lignes
• EXEMPLE DE RP SUR UN AUTRE FORUM : - Spoiler:
La peur ... Un sentiment bien connut pour la plupart des personnes vivants sur cette terre. Un sentiment qui rendait vulnérable le plus grand des prédateurs. Un sentiment qui en fait, miraculeusement ne coulait pas dans les veines du jeune homme. Vous vous demanderez alors surement pourquoi je vous en parle ? Tout simplement parce qu'Elle avait peur. Mais ce n'était pas la peur qui vous traverse le corps lorsque vous tombez sur un serpent ou quelque chose dans ce genre. Non. c'était la peur de la mort. La peur qui vous transperce et retire de votre tête tout espoir possible. La peur qui dessine la tête d'un meurtrier jusqu'au plus profond de votre mémoire. La peur qui fait couler le sang sur les murs. La peur incontrôlable. La peur qui vous donne une envie de courir, courir jusqu'aux horizons les plus lointains, peut-être même jusqu'au désert du Sahara. Une peur qui révèle en vous cet aspect animal qu'est la survie. Cet aspect animal sans lequel personne sur cette terre ne serait encore en vie. Un reflex bien idiot en soit. Un reflex à éliminer, tout simple et le plus rapidement possible. Après tout, à quoi sert votre vie sans celle des personnes gravées dans votre cœur. J'ai la réponse à votre question : à rien. C'est surement pour cette raison que Tucker ne s'enfuit pas par le couloir latéral à ce moment précis. Mais revenons quelques secondes en arrière. La balle sortit du révolver et vint se loger à quelques centimètres de la tête du "conseiller présidentiel". Le jeune homme ne savait pas s'il était la cause de ce qui se passa ensuite. Ce fut si rapide ... une ombre surgit et se jeta sur le petit groupe. Elle fit fondre l'arme de l'agent et l'envoya valser à quelques mètres de là. Elle se dirigea ensuite vers Elle, plaquée au mur. Midas ne compris pas directement ce que se passa : un trait rouge se dessina sur le front de la jeune femme et celle-ci hurla. Ce fut le déclic, le jeune homme se releva le plus vite possible et fonça sur l'ombre. Trop tard. Elle s'effaça et le heroe fonça dans le mur.
Lorsqu'il releva la tête la vision d'horreur arriva : la tête de la petite blonde, à moitié tranchée pendait là, inerte, morte. Le jeune homme s'affaissa. Il tomba au sol et ses yeux bleus se remplirent soudain de larmes. Il ne savait pas pour quelle raison. Après tout il connaissait à peine la jeune femme. Cela faisait seulement une petite heure qu'il en avait fait connaissance. Mais ce n'était pas la personne en elle-même. C'était plutôt la vie humaine qu'elle représentait. Une voix tremblante, pleine de chagrin, retentit soudain dans le couloir. C'était celle de Tucker.
- Merde ... Pourquoi ... Mais pourquoi cela n'arrive-t-il qu'à moi ? Bon sang...
La seule chose qu'il put faire, c'était créé un "cercueil" à la jeune femme. Lentement, il leva une de ses deux mains tremblante et, délicatement, toucha les habits tachés de sang de la jeune femme. Ceux-ci devirent alors d'une couleur or. Mais discrète afin que personne ne le remarque. Le jeune homme se leva et, ne sachant trop que dire, se pencha vers l'oreille de la petite blonde et susurra doucement :
- Pardon ...
Il fit ensuite un léger baiser sur le front de la jeune femme, enfin du moins ce qu'il en restait et s'éloigna. Des gardes, alertés par le cri strident d'Elle affluaient suivis de quelques curieux. Le "conseiller présidentiel" était assit sur le sol. Un air effrayé se dessinait sur son visage et, peut être pour prouver qu'il n'avait pas eu peur, Midas ramassa les lunettes de ce dernier et les lui tendit tout en lui glissant un discret :
- Ce n'est pas fini
Tu bouges plus ou je te fais sauter la cervelle.
L'agent venait de pointer un révolver sur la nuque du jeune homme. Celui-ci se laissa faire, il ne voulait pas de problèmes. Il s'enfuirait lorsque la troupe sera l'aéroport ou bien même dehors. S'enfuir ... Ce que le jeune homme savait faire de mieux. Les renforts arrivèrent et écoutèrent les ordres de James. Et après avoir vérifié plusieurs fois que l'ombre mystérieuse s'était bien envolée, le groupe refit le chemin parcourut précédemment mais, dans l'autre sens. Étrangement, cette expérience avait rendus le jeune garçon plus sûr de lui. En quelques secondes il était passé de l'enfant terrorisé à l'adulte combattant. Il n'était plus le petit garçon dont on était effrayé, ni le petit garçon qui partait en pleurant lorsqu'on lui lassait des pierres. Non. Il était différent. Et il pourrait même remercier le terroriste pour ça. Midas n'était plus le roi piégé par les dieux. Il était désormais le roi dont la bêtise débouchait toujours sur une victoire. Ce qu'il attendait désormais c'était d'inverser les rôles. Il voulait devenir le dieux qui piégeait les rois.
• EXPÉRIENCE RPG : Un peu plus d'un an
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Dernière édition par Hayley F. Christen le Mer 3 Déc 2008 - 20:36, édité 3 fois
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