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Sujet: Amy Helisson Ven 12 Déc 2008 - 1:33 |
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[*] FICHE DE PRÉSENTATION - ELÈVE- NOM :
Helisson
- PRÉNOM(S) :
Amy
- ÂGE/ANNÉE :
Plus de 5èmes années pour l'instant 14ans/4ème
- RP :
(N'oubliez pas d'inclure un maximum d'informations et de développer les points principaux précisés ci-dessus)
- Spoiler:
*J’avais le sentiment de n’être rattaché à aucun lieu, à personne, que ma place ne se trouvait nulle part si ce n’est peut-être à Poudlard. J’avais le sentiment, étrange et pourtant, de n’avoir pas de véritable famille, encore moins de point de recueillement. Je me contentais de tout ces gens autour de moi, toutes ces rencontres qui m’avaient apporté plus de joie que durant toute mon enfance. Tous ces rires échangés, qui étaient ma meilleure arme contre le malheur. Ma seule et unique thérapie était ma joie de vivre, mon insouciance, et ma vulnérabilité. J’étais naïve comme personne, mais personne ne pouvait ma faire souffrir, car j’avais cette manie, ce don, appelez ça comme vous le voulez, de rire de tout, et cela m’égayais et me faisait oublié lorsque ça n’allait pas bien. J’avais aussi beaucoup de mal à m’attacher, j’étais donc rarement déçue. Mais qu’importe. Je vous laisse. Et à demain.*
Amy referma le gros et lourd livre, relié en cuir, que lui avait donné sa mère à son entré à Poudlard et dans lequel elle passait son temps à écrire. Durant ces trois magnifiques années (et à présent la quatrième), elle avait raconté tout ce qui lui était passé par la tête : des citations d’auteurs célèbres, des pensées qui lui étaient venues, des moments qu’elle ne voulait pas oublier, des noms, toutes sortes de nom, un bout de ses journées, les paroles d’une chanson, quelques notions de cours qu’elle jugeait importante, et tant d’autres choses qu’il serait inutile de tout lister. Elle avait aussi accroché dans la reliure arrière, toutes les lettres qu’elle avait reçu durant ces trois dernières années. Ce livre était un souvenir d’elle, qu’elle conservait précieusement et qu’elle enrobait de toutes sortes de sortilèges de protection pour ne pas qu’il s’abîmer ou se fasse voler. C’était en quelques sortes son trésor, un trésor sans valeur excepté à ses yeux. Déjà petite elle avait aimé écrire, et lorsqu’elle rentrait le soir chez elle, elle l’ouvrait, relisait certaines parties, et en réécrivait de nouvelles parfois. Sa mère n’avait jamais eu conscience de la portée que son cadeau avait eu sur Amy, grâce à lui elle avait appris à relativiser et à faire le partage entre ce qui est grave et ce qui ne l’est pas. Après avoir refermé cet amoncellement de souvenir, Amy alla s’habiller, se coiffa rapidement, se pomponna légèrement, et descendit dans la Grande Salle pour prendre son petit-déjeuner. Elle rejoignit ses amis sur l’une des quatre grandes tables. Le plafond aujourd’hui était particulièrement réussi, il représentait une journée ensoleillée, dans les alentours de midi, des oiseaux passaient régulièrement, gazouillant et chantant. Parfois le vent poussait un ou deux nuages qui semblaient « rafraîchir » l’atmosphère. Comme à son habitude, et cela chaque matin depuis le premier jour, Amy sortie un bout de parchemin, une plume et entreprit de faire ses devoirs de la journée. Bien qu’intelligente, ouverte d’esprit et désireuse d’apprendre, Amy n’était pas une élève assidu, elle arrivait à suivre uniquement grâce aux bases que lui avaient enseignées ses parents, mais elle travaillait peu, voir pas du tout, et avait tendance à se distraire facilement en cours. Malgré tout cela, c’était une élève avec un niveau correct, qui s’en sortait sans en faire trop. Mais passons, agacé à cause de cet exposé sur les plantes aquatiques, Amy laissa tomber, elle écrivit un rapide résumé avant de ranger ses affaires dans son sac. La journée serait longue elle n’en doutait pas : il faisait froid, très froid, alors qu’elle n’aimait que la chaleur, les cours qu’elle avait aujourd’hui n’était pas ceux qu’elle préférait, elle se devait d’envoyer une lettre de joyeux noël à sa grande tante, sa chouette étant malade elle avait emprunté un hibou à l’école qui mettait une ou semaine ou deux à transmettre ses courriers, elle allait devoir monter se changer car il c’était mis à neiger dehors et ces vêtements n’étaient pas assez chaud. Mais tout cela n’était pas bien important en somme, c’était juste les petits malheurs de la vie quotidienne, sans qui cette même vie quotidienne serait d’un ennui sans nom. S’emparant de son sac d’une main, et tout en ayant un croissant dans la bouche, elle sortie précipitamment dans sa chambre pour ne pas être en retard à son premier cours. Elle entra dans sa chambre en courant, s’apercevant que le vent dehors avait ouvert les fenêtres et faisait s’envoler tous les parchemins et autres accessoires par terre. Excédé par le froid qui l’envahit lorsqu’elle se pencha au dehors pour fermer les fenêtres, elle ouvrit son livre, prit sa plume et écrit de sa belle écriture, très petite et très soignée :
*Par la barbe de Dumbledore !*
Il n’y avait rien d’autres à dire, elle referma le livre et partie se changer précipitamment, n’oubliant ni son chapeau, ses gants, son écharpe, un ou deux sous-pull, et son gros manteau d’hiver. Elle était déjà en retard, et pourtant l’idée d’avoir cour de Botanique, dans une serre, dehors, dans le froid, ne lui donnait aucune envie de se dépêcher. Il le fallait pourtant si elle souhaitait progresser et devenir une grande sorcière. C’était là sa motivation ; devenir une grande sorcière, forte, imbattable, capable du pire comme du meilleur, et pouvant tout faire ou presque. Les professeurs ne cessaient de lui répéter qu’avec un peu de travail elle pourrait être bien meilleur, mais elle avait une fierté et un égaux surdimensionné, et avait du mal à accepter les conseils, préférant (et de loin !) apprendre de ses propres erreurs, être sanctionné si il le fallait, mais apprendre par soi même. Elle savait que le jour où elle raterait un examen, elle se reprendrait, travaillant d’arrache-pied dans l’espoir d’être la meilleur la fois suivante. Elle obéissait rarement à un ordre, encore moins si il venait d’une personne qui n’était pas censé lui en donner. Aussi lorsque le tableau de sa salle commune lui dit de sa voix monocorde et antipathique :
-Pressez-vous donc un peu ! Ne voyez-vous pas que vous êtes en retard, et que les cours ont commencé ? Êtes-vous trop ingrate pour ne pas apprécier la chance qui vous a été donné en étant accepté ici ?
Amy s’énerva, pour qui se prenait-il ? Bien qu’elle refusait les ordres, il suffisait que l’on lui demande quelque chose poliment et gentiment pour qu’elle accepte. Etant quelqu’un pour qui le respect était la plus importante éducation que les parents se devaient de donner à leurs enfants, si on lui parlait respectueusement, il n’y avait aucune raison pour qu’elle s’énerver et se braque. Bien au contraire elle acceptait souvent d’aider tant que ce choix lui était dicté par elle-même. Ayant toujours pensé que seule les choix faisaient une personne, elle ne pouvait pas permettre à quelqu’un de faire ses choix à sa place, cela voudrait-il dire qu’il puisse influencer sa personnalité ? Bien sur que non, et pour cela elle devait être seul maître de ce qu’elle entreprenait. Désormais en bas des escaliers, Amy vit quelques élèves discuter calmement, l’un deux rata une marché et s’étala par terre, se faisant sans aucun doute assez mal. Bien que compatissance, Amy ne put s’empêcher de rire, elle savait pertinemment qu’à la place de ce jeune homme elle l’aurait fusillé du regard et par la même occasion détester. Mais sur le moment ce fut la seule chose qui lui passa à l’esprit, elle ne regretta pas par la suite. Ne regrettant même jamais rien, car cela ne servait à rien si ce n’est à se morfondre de ce que l’on aurait pu faire ou dire et que l’on a pas fait ou dit. C’était là aussi la clef de son bonheur, car bien que nostalgique, elle pensait rarement au passé, encore moins au futur, se contentant du présent. En effet, il ne servait à rien de repenser au passé, ne pouvant rien y changer il ne servait à rien d’en souffrir, quand au futur … il était impossible d’en deviner quoi que ce soit, encore moins d’essayer de l’arranger à sa manière. En réalité, il n’y avait que le présent qui nous obéissait, alors il n’y avait que à lui dont on devait se soucier, le reste n’étant que futilité et inutilité, que en un jour de disgrâce, « Dieu » créa.
-Bien le bonjour Mme Chourave, et navré de mon retard je suis partie me changer.
Elle s’assit et le cours reprit. Bien qu'ayant été en retard, Amy révassa, elle repensa à son passé, à sa mère et à son père qui lui manquait, à son grand frère aussi qu'elle aimait plus que tout au monde. Lucas était né 5 ans avant Amy, il était venu à Poudlard aussi, ça avait été un élève exceptionelle, travailleur et intelligent, sa maison avait été Serdaigle. Aujourd'hui il travaillait à l'étranger dans la recherche d'animaux inconnu et Amy ne le voyait plus beaucoup hélas .. Lui et elle, avait de nombreuses fois fait du vélo (un objet moldu qui consiste à pédaler pour faire tourner des roues) dans les rues de Londres, ou bien parfois à Paris même lorsqu'ils allaient dans leurs maisons secondaires. Lucas et Amy avaient toujours été très proche, très complice, et lorsqu'il leur avait annoncé qu'il partait à la conquête du Monde, et plus particulièrement à la conquête de l'inconnu, cela avait détruit profondément Amy, et durant de nombreux jours un voile de tristesse s'abatti sur son visage. Quand à sa mère et son père, ils étaient tout deux sorciers. Sa mère, Isya, avait rencontré son père, Armand, très jeune, et avait eu leurs enfants tout aussi tôt, ce qui expliquait qu'elle n'est à présent que 37 ans. Son père, hélas, avait et est encore aujourd'hui, un coureur de jupons, et qui sait si Amy n'a pas quelques demi-frères ou demi-soeurs de ci de là ? Toujours est-il que Armand aime sa famille et, bien que les apparences soient contre lui, il aime aussi sa femme, et les fera toujours passer avant le reste. Quand à sa mère, c'est une jeune femme, très belle, qui parle peu mais parle bien, ne s'énervant jamais et trouvant des solutions à tout problèmes. Amy n'avais jamais connu ses grands-parents et de ce que on pu lui raconter ses parents, elle ne le souhaite pas particulièrement. Venant d'un milieu aisé, Amy se rapellait les aprés-midi à jouer avec l'un des serviteurs, son frère, ou parfois même avec les elfes de maisons lorsqu'ils étaient de bonne humeur, à courir autour de la grande maison, dans le jardin, ou bien même, lorsqu'il faisait assez chaud, dans la piscine. Elle avait toujours été heureuse, comblé, capricieuse, ce à quoi on peut en incomber la faute aux gateries que l'argent de son père lui permettait. Elle s'était toujours très bien entendue avec ses parents, bien sur il y avait eu quelques malencontreuses altercations mais comme dans toutes relations parents-enfants, rien de grave. Sa vie, pourrait-on presque dire, était idéal .. Presque. [*] QUESTIONNAIRE DU CHOIXPEAU• 1) Vous trouvez un porte-monnaie rempli de Gallions, qu'en faites vous ? Je garde la porte-monnaie, et trouve un moyen de dépenser les Gallions à mes dépens.
• 2) Un élève de votre maison vous fait une farce un peu humiliante. Comment réagissez vous ? J'en ris, mais me promet de lui faire "gentiment" payé.
• 3) Quel serait votre cours favori et pourquoi ? Le cours de vol ou bien de soins aux créatures magiques : le vol pour la sensation de liberté et de joie que cela m'apporterait, et le soins aux créatures magiques car j'adore les animaux notemment ceux qui me sont inconnus et qu'il est difficile de comprendre.
• 4) Vous avez du temps libre, que faites vous ? Je fais un tour du chateau avec mes amis, du moins je me distrais de manière agréable.
• 5) Vous êtes à la bibliothèque, qu’empruntez-vous comme livre ? Les Contes de Beedle le Barde.
• 6) Votre lieu préféré à Poudlard et pourquoi ? La salle sur demande, histoire d'avoir ce que je veux, quand je le veux. Ou bien la salle commune de Gryffondor, un endroit feutré, chaleureux et agréable.
• 7) Si vous deviez n'en avoir qu'un seul, quel objet magique peu ordinaire aimeriez vous posséder ? : La Baguette de Sureau ! (=D)
• 8) Si vous remarquez qu'un élève se comporte bizarrement ces derniers temps, aimeriez vous savoir ce qu'il manigance, allant jusqu'à le suivre ? Plus simplement j'irais le voir, si il s'avère qu'il ne veut rien me dire, alors oui je le suivrais. La curiosité étant une qualitée avant d'être un défaut.
• 9) Comment consiérez vous Albus Dumbledore, directeur de Poudlard ? Est-ce une bonne chose qu'il soit à la tête de cette si prestigieuse école ? C'est un sorcier très puissant et très sage. Se laissant très rarement dépassé par les évènements et semblant toujours tout contrôler. C'est une personne en qui je porte beaucoup de respect, voir même de l'admiration, qui m'intrique autant qu'il m'agace avec ses énigmes et ses mystères. Mais je pense sincèrement que sa mutation au poste de directeur de Poudlard est la meilleure chose qui ne soit jamais arrivé à cette école.
• 10) Très franchement, pensez-vous que les enfants de Moldus méritent d'étudier à Poudlard ? Très franchement ? Oui. [*] HORS-JEU- AVATAR :
Sophia Bush
- EXPÉRIENCE RPG :
Depuis combien de temps jouez vous sur des RPG ? Mes tout premiers RPs datent d'il y a au moins 5 ou 6 ans, mais je n'en ait pas toujours fait régulièrement.
- COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ?
Top Site.
( Les deux RPs arrivent )
Dernière édition par Amy Helisson le Sam 13 Déc 2008 - 1:01, édité 5 fois
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Hermione Granger
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Sujet: Re: Amy Helisson Ven 12 Déc 2008 - 13:36 |
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Bienvenue, je te laisse terminer ta fiche ;-)
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Invité
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Sujet: Re: Amy Helisson Ven 12 Déc 2008 - 20:05 |
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Bienvenue
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Invité
Invité
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Sujet: Re: Amy Helisson Ven 12 Déc 2008 - 21:52 |
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Merci à vous deux =D. J'ai posté le premier RP, et je cherche le deuxième texte.
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Invité
Invité
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Sujet: Re: Amy Helisson Sam 13 Déc 2008 - 0:08 |
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Le deuxième RP ne tenait pas sur le message : [*]EXEMPLE DE RP : Vous pouvez prendre un de vos RP d'un autre forum où vous jouez.- Spoiler:
" AVADA KEDAVRA ! "
Et son fameux rire s'éleva, sadique, méchant, cruelle, et d'une joie inégalable. Elle l'avait tuée, cela allait faire plaisir à son maître. Elle ne pensait pas que cela allait la rendre aussi euphorique, elle planait, se sentait enfin dans son élément. Il aurait fallu la tuer pour ne pas qu'elle recommence. Une chère et tendre petite moldu, 10 ans à peine, et déjà morte, elle avait vu ce qu'il ne fallait pas voir, il n'y avait donc pas d'autres solutions que de la tuer. Bellatrix ne s'était pas contenté de la tuer, non, loin de là, elle lui avait d'abord fait peur, avec ces yeux de bêtes, son air de folie, son sourire démoniaque. La petite avait hurlé, pas assez fort cependant. Sans attendre davantage, Bella lui avait lancer le sort Doloris, cette "chose" s'était tordue de douleur par terre, s'écorchant les mains, les genoux contre les pierres, s'arrachant la peau du visage pour échapper à la torture. Elle appelait sa mère entre chaque spasme de douleur, laissait entrevoir ses yeux bleus et limpides baignés de larmes, ses mains crispé sur des pierres pointus et laissant son sang s'écouler lentement. Elle avait osé regarder sa cruelle tortionnaire, et pour le peu de vie qu'il lui restait regretta ce geste. Ce qu'elle avait vu lui faisait encore plus peur que tout ce qu'elle n'avait jamais vu, plus que le noir béant et grand de sous son lit, plus que son père en colère, ou que les araignées. Cet enfant avait perdue l'espoir qui fait battre le cœur. Bellatrix arrêta de jeter son sort, la petite resta allongé par terre, les jambes repliés contre son torse, le visage trempé de l'eau salé de la sueur et des larmes. Elle avait froid, mais n'osait pas bouger, espérant que cette étrange femme disparaisse, qu'elle la croit morte et qu'elle parte. Elena elle s'appelait. Un jolie prénom pour une jolie enfant. Son visage était vide d'expression, mais son regard… Son regard était tétanisé par la peur, semblait fixer un point imaginaire, elle semblait folle et incapable de bouger. C'est alors que Bella l'acheva, dans un dernier soupir elle relâcha toute la pression de son corps et s'étendit de tout son long par terre. C'était fini. La plus grande satisfaction de la sorcière n'avait pas été de la tuer, loin de là, c'était de voir ce petit être innocent, souffrir par sa faute. C'était de voir cette petite enfant, si mignonne dans le fond, se tordre de douleur devant ces yeux. Ce sortilège qu'elle avait appris pas très longtemps avant, "Doloris", était ce qu'elle adorait le plus en ce monde. Elle venait de comprendre que l'on peut rendre des gens fous et handicapé grâce à ce magnifique sort. A présent qu'elle avait goûté à la joie de l'exécuter, elle contait bien en jouir pour chacune de ses victimes. Pauvres petites personnes qui auraient le malheur de la croiser. Ils ne mourraient pas tout de suite, bien au contraire. Elle était une tortionnaire ! Faire du mal aux autres, allaient devenir comme une drogue. Pour le moment elle voulait juste s'entraîner. Mais sur quoi ? Sur qui ? Il n'y avait personne alentour. Et ce petit chien errant ? Ne ferait-il pas l'affaire ? Celui-ci, justement, marchait d'une démarche lourde et boiteuse non loin de là.
* Un chien galeux sans aucun doute, cela ne fera de mal à personne si je le tue. *
Mais dans le fond, elle aurait préféré que cela fasse du mal à des gens. Et si elle avait pu tuer toutes les personnes sur cette vaste terre, elle l'aurait fait. Mais en ce jour, là n'était pas la question. Il fallait régler son sort à ce clebard qui se permettait de la regarder. De son pas étrange et mystérieux, Bella s'avança au plus près de la bête. Pris d'un élan de courage le chien se mit à aboyer, croyant effrayer l'effrayante sorcière. Mais non, Bella rit. Elle rit à s'en casser les côtes. Elle rit et d'un seul coup sans prévenir, elle lui assena le sort de douleur. Les gémissements du chien la rendait heureuse, elle semblait tellement contente, tellement en harmonie avec le reste du monde. Elle était comparable à la romantique qui se marie. Elle continua un moment encore. 1minutes. Ou 2. Peut-être même 10. Le temps s'était arrêté pour elle, et elle aurait pu continuer encore longtemps si elle ne s'était pas rendue compte que le chien était mort. Il avait succombé à la douleur, tel un lâche. La petite fille, elle s'était battue. Bellatrix était déçu, elle aurait aimé recommencer. Encore et encore. Mais pour l'instant il y avait d'autres choses plus importantes à faire. Elle devait rejoindre son maître pour lui dire que sa mission était finie. Durant le chemin du retour, Bella pensa beaucoup, notamment à ce sentiment qu'elle avait ressenti lorsqu'elle avait tué la petite fille. Contrairement à l'image que les autres avaient d'elle, d'une folle, capable de tout, elle était très réfléchie et très intelligente. Elle savait quels mots faisaient du mal, ce qu'il fallait faire pour embobiner les gens. Elle était hors du commun. La jouissance qu'elle avait ressentie en tuant cette pauvre petite fille, n'était comparable en rien. C'était un sentiment qu'elle n'avait jamais ressentie. Elle avait goûté un bonheur dont elle ne pouvait plus se passer à présent. Et elle savait pertinemment qu'elle rejouerait avec ses victimes avant de les tuer définitivement. Il n'y avait rien au monde qui aurait pu l'en empêcher. C'était un peu comme un jeu mais en plus drôle. Comme de gagner une coupe de l'univers mais en plus enrichissant. Comme de manger un met délicieux, mais en plus succulent. Comme un arc-en-ciel mais en plus coloré. Et lorsque cela s'arrêtait c'était comme de finir un livre merveilleux mais en plus déprimant. C'était comme un millier de choses fabuleuses, mais avec ce sentiment toujours plus fort, car pour Bella il était inégalable.
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Hermione Granger
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Sujet: Re: Amy Helisson Sam 13 Déc 2008 - 0:26 |
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Ta fiche est presque parfaite, est-ce que tu pourrais seulement ajouter quelques détails au niveau de ton passé ? Il reste assez vague, et nous n'avons que très peu d'infos ;-)
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Invité
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Sujet: Re: Amy Helisson Sam 13 Déc 2008 - 0:44 |
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Voila, voila, j'espère que c'est assez long =D.
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Hermione Granger
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Sujet: Re: Amy Helisson Sam 13 Déc 2008 - 2:07 |
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La longueur n'était pas la question, au contraire ^^ Ta fiche est validée ! ;-)
GRYFFONDOR, 4ÈME ANNÉE
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Sujet: Re: Amy Helisson |
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